Un ballo in maschera - Schedule, Program & Tickets
Un ballo in maschera
[Un bal masqué]
Mélodrame en trois actes
Livret d'Antonio Somma d'après le drame "Gustave III" d'Eugène Scribe
Créé le 17 février 1859 à Rome
Première au Deutsche Oper de Berlin le 19 décembre 1993
recommandé à partir de 13 ans
3 heures / Une pause
En italien avec surtitres allemands et anglais
Introduction : 45 minutes avant le début de la représentation dans le foyer à droite
Roi Gustave III. tient son audience du matin comme s'il s'agissait d'une représentation théâtrale. La page Oscar présente au roi la liste des invités d'un prochain bal masqué. Gustaf découvre alors le nom d'Amelia, la femme de son meilleur ami René Anckarström, qu'il aime secrètement. Un complot contre le roi se prépare. René l'avertit, mais le roi sous-estime le danger. Il ne prend pas non plus au sérieux la prophétie de la diseuse de bonne aventure Ulrika, qui lui dit qu'il sera tué par celui qui lui serrera la main en premier, puisque c'est son ami René Anckarström qui le salue d'une poignée de main. Lorsque Gustaf et Amelia professent leur amour sur le site d'exécution à minuit, René apparaît de manière inattendue pour avertir à nouveau son ami. Il échange des capes avec le roi afin qu'il puisse s'échapper inaperçu et promet d'escorter l'étranger voilé jusqu'à la ville. Les conspirateurs viennent attaquer le prétendu roi. René se révèle. Sa femme, Amelia, se jette parmi les combattants, laissant tomber son voile. Moqué comme un mari trahi, René veut rejoindre les conspirateurs. Lorsque le page apporte l'invitation du roi Oskar au bal masqué, il décide de transformer le bal en une danse de mort pour Gustaf, ignorant que le roi a déjà décidé contre l'amour et en faveur du devoir. Lorsqu'il dit au revoir à Amelia, il est abattu par René.
UN BALLO IN MASCHERA est considéré comme un excellent exemple de la nouvelle esthétique de verità de Verdi, qui développe un large éventail de facettes musicales et dramatiques. L'histoire d'amour tragique entre le roi Gustaf III. et Amelia, qui ressemble à un destin, s'oppose à l'atmosphère rayonnante de la cour, représentée surtout par le page Oskar, en contrepoint. Le point culminant dramatique est le final du troisième acte : au bal masqué de la société de la cour, les conspirateurs, le comte René Anckarström, apparaissent également, et les deux intrigues s'entremêlent. La catastrophe se déroule sur fond de musique de danse élégante. La rencontre finale entre Amelia et Gustaf est accompagnée d'un menuet stylisé, interrompu une seule fois par une musique angoissée quand Amelia craint pour la vie de son amant. Les sentiments des deux personnages principaux, qui alternent entre désir et remords, se reflètent dans la diversité de la composition musicale : contrastes musicaux, ponctuation et syncope aiguës expriment l'intensité des sentiments. Le drame se joue avant tout dans la musique.
Götz Friedrich et ses deux pourvoyeurs le rendent également visible et tangible sur scène avec leur scénographie et leur mise en scène personnelle sophistiquée.
Musikalische Leitung
Yi-Chen Lin
Inszenierung
Götz Friedrich
Bühne, Kostüme
Gottfried Pilz
Isabel Ines Glathar
Chöre
Jeremy Bines
Chor der Deutschen Oper Berlin
Choreografische Mitarbeit
Andria Hall
Gustaf III, König von Schweden
Yosep Kang
Graf René Anckarström
Thomas Lehman
Amelia, seine Gattin
Anna Pirozzi
Ulrika Arvedson, Wahrsagerin
Olesya Petrova
Oscar, Page
Meechot Marrero
Christian, ein Seemann
Samueol Park
Graf Horn
Patrick Guetti
Graf Ribbing
Tyler Zimmerman
Der Oberste Richter
Jörg Schörner
Diener
Patrick Cook
Orchester
Orchester der Deutschen Oper Berlin
Tanz
Opernballett der Deutschen Oper Berlin
Sous réserve de modifications.
Mélodrame en trois actes
Livret d'Antonio Somma d'après le drame "Gustave III" d'Eugène Scribe
Créé le 17 février 1859 à Rome
Première au Deutsche Oper de Berlin le 19 décembre 1993
recommandé à partir de 13 ans
3 heures / Une pause
En italien avec surtitres allemands et anglais
Introduction : 45 minutes avant le début de la représentation dans le foyer à droite
Roi Gustave III. tient son audience du matin comme s'il s'agissait d'une représentation théâtrale. La page Oscar présente au roi la liste des invités d'un prochain bal masqué. Gustaf découvre alors le nom d'Amelia, la femme de son meilleur ami René Anckarström, qu'il aime secrètement. Un complot contre le roi se prépare. René l'avertit, mais le roi sous-estime le danger. Il ne prend pas non plus au sérieux la prophétie de la diseuse de bonne aventure Ulrika, qui lui dit qu'il sera tué par celui qui lui serrera la main en premier, puisque c'est son ami René Anckarström qui le salue d'une poignée de main. Lorsque Gustaf et Amelia professent leur amour sur le site d'exécution à minuit, René apparaît de manière inattendue pour avertir à nouveau son ami. Il échange des capes avec le roi afin qu'il puisse s'échapper inaperçu et promet d'escorter l'étranger voilé jusqu'à la ville. Les conspirateurs viennent attaquer le prétendu roi. René se révèle. Sa femme, Amelia, se jette parmi les combattants, laissant tomber son voile. Moqué comme un mari trahi, René veut rejoindre les conspirateurs. Lorsque le page apporte l'invitation du roi Oskar au bal masqué, il décide de transformer le bal en une danse de mort pour Gustaf, ignorant que le roi a déjà décidé contre l'amour et en faveur du devoir. Lorsqu'il dit au revoir à Amelia, il est abattu par René.
UN BALLO IN MASCHERA est considéré comme un excellent exemple de la nouvelle esthétique de verità de Verdi, qui développe un large éventail de facettes musicales et dramatiques. L'histoire d'amour tragique entre le roi Gustaf III. et Amelia, qui ressemble à un destin, s'oppose à l'atmosphère rayonnante de la cour, représentée surtout par le page Oskar, en contrepoint. Le point culminant dramatique est le final du troisième acte : au bal masqué de la société de la cour, les conspirateurs, le comte René Anckarström, apparaissent également, et les deux intrigues s'entremêlent. La catastrophe se déroule sur fond de musique de danse élégante. La rencontre finale entre Amelia et Gustaf est accompagnée d'un menuet stylisé, interrompu une seule fois par une musique angoissée quand Amelia craint pour la vie de son amant. Les sentiments des deux personnages principaux, qui alternent entre désir et remords, se reflètent dans la diversité de la composition musicale : contrastes musicaux, ponctuation et syncope aiguës expriment l'intensité des sentiments. Le drame se joue avant tout dans la musique.
Götz Friedrich et ses deux pourvoyeurs le rendent également visible et tangible sur scène avec leur scénographie et leur mise en scène personnelle sophistiquée.
Musikalische Leitung
Yi-Chen Lin
Inszenierung
Götz Friedrich
Bühne, Kostüme
Gottfried Pilz
Isabel Ines Glathar
Chöre
Jeremy Bines
Chor der Deutschen Oper Berlin
Choreografische Mitarbeit
Andria Hall
Gustaf III, König von Schweden
Yosep Kang
Graf René Anckarström
Thomas Lehman
Amelia, seine Gattin
Anna Pirozzi
Ulrika Arvedson, Wahrsagerin
Olesya Petrova
Oscar, Page
Meechot Marrero
Christian, ein Seemann
Samueol Park
Graf Horn
Patrick Guetti
Graf Ribbing
Tyler Zimmerman
Der Oberste Richter
Jörg Schörner
Diener
Patrick Cook
Orchester
Orchester der Deutschen Oper Berlin
Tanz
Opernballett der Deutschen Oper Berlin
Sous réserve de modifications.
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