Il Barbiere di Siviglia - Schedule, Program & Tickets

Il Barbiere di Siviglia

Mise en scène et mise en scène
Herbert Frisch

Costumes
Victoria Behr

Léger
Carsten Sander

Comte Almaviva
Lévy Sekgapane

Bartolo
Paolo Bordogna

Rosine
Vassilissa Berzhanskaya

Don Basílio
Pierre Kellner

Figaro
Marco Caria

Ambrogio
Ruth Brauer

Marcelline (Berte)
Aurore Marthes


Le barbier de Séville se présente comme le "factotum de toute la ville" : comme un assistant dans toutes les situations. Comme tous les barbiers de son temps, il était non seulement chargé de soigner la barbe et les cheveux, mais aussi d'arracher les dents et de faire couler le sang. En outre, l'offre du Figaro comprend également des services pour les amoureux et les futurs mariés, comme la livraison clandestine de lettres ou les sérénades commandées.

Malgré son autopromotion, les idées de Figaro s'avèrent inutiles lorsqu'il est chargé d'aider le comte Almaviva à gagner la main de Rosina. Rosina vit enfermée avec son tuteur Bartolo, qui veut assurer sa fortune en l'épousant lui-même. Tous les projets du Figaro sur la façon dont Almaviva pourrait se rapprocher de sa bien-aimée échouent de la manière la plus amusante pour le public. En fin de compte, l'argent et le pouvoir font du comte le vainqueur de ce combat, qui est un jeu pour lui-même mais un sérieux amer pour Bartolo.

L'opéra s'appelait à l'origine Almaviva, o sia L'inutile precauzione (Almaviva ou Useless Caution) - le personnage principal était donc le comte Almaviva. Cependant, l'amour du public s'est rapidement concentré sur le barbier extraverti. Un facteur contributif était que le grand air du comte "Cessa di più resistere" était souvent omis en raison de sa longueur et de son immense difficulté. En fait, ce ne sont pas les stratégies d'escalade du barbier, mais les moyens de pouvoir du noble qui aident son amour à la victoire.

L'opéra est basé sur la pièce du même nom de Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, créée en 1775. Il a transformé les types de personnages et les éléments de l'intrigue de la comédie impromptue italienne, la Commedia dell'arte, d'abord en un opéra comique, puis en une comédie en prose, qui comprenait également des impressions d'un voyage en Espagne. La pièce devint plus tard le premier volet de la trilogie Figaro de Beaumarchais.

L'opéra doit également son énorme impact scénique au livret de Cesare Sterbini, qui a fourni à Rossini des occasions musicales idéales, dont l'un de ses célèbres «roulements de crescendo» : dans son «air de calomnie», l'allié de Bartolo, Basilio, retrace en détail le développement d'un rumeur, d'un doux murmure à l'explosion d'un « shitstorm ». Et dans le finale de l'acte I, le texte de l'opéra évoque l'image d'une « forge infernale », que la musique peint allègrement au son des marteaux et des enclumes.

Sous réserve de modifications.

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