Carmen - Schedule, Program & Tickets
Carmen
Opéra en quatre actes
Livret d'Henri Meilhac et Ludovic Halévy d'après la nouvelle du même nom de Prosper Mérimée
En français avec sous-titres allemands et anglais
première
1er mai 2026
Le mythe de Carmen et son combat sans précédent pour la liberté et l’autodétermination.
Le regard de Carmen peut-il être comparé uniquement à celui d’un animal sauvage ? L'écrivain français Prosper Mérimée examine cette question dans sa nouvelle Carmen, base du dernier opéra du même nom de Georges Bizet (1838-1875), créé le 3 mars 1875 à l'Opéra-Comique de Paris. L'apparence séduisante de Carmen est à la fois son arme et son destin, car à la fin elle meurt des mains de son amant jaloux : Don José.
Carmen ne veut pas être contrôlée par les autres et ne veut certainement pas être sauvée par Don José dans le sable tourbillonnant devant les arènes ; elle préférerait même la mort : elle veut décider elle-même de sa vie. Dans l'air d'entrée passionné de Carmen, Habanera, extrêmement populaire, elle dresse un portrait d'elle-même : « L'amour est un oiseau têtu que personne ne peut apprivoiser. » Leur désir inébranlable de liberté est leur ADN.
La partition de Georges Bizet, parsemée de mélodies entraînantes, d'instruments caractéristiques tels que des castagnettes et du tambourin, de rythmes entraînants et d'une série de danses espagnoles, déborde de verve, de puissance et de passion. La joie de vivre et la danse, mais aussi la douleur et finalement la mort sont proches. Le thème de la peur et de la fascination, représenté par le visage de Janus, donne le ton à cet opéra et, soit dit en passant, continue d'avoir un impact sur un certain nombre de proches de Carmen dans les personnages d'opéra ultérieurs.
Sous réserve de modifications.
Livret d'Henri Meilhac et Ludovic Halévy d'après la nouvelle du même nom de Prosper Mérimée
En français avec sous-titres allemands et anglais
première
1er mai 2026
Le mythe de Carmen et son combat sans précédent pour la liberté et l’autodétermination.
Le regard de Carmen peut-il être comparé uniquement à celui d’un animal sauvage ? L'écrivain français Prosper Mérimée examine cette question dans sa nouvelle Carmen, base du dernier opéra du même nom de Georges Bizet (1838-1875), créé le 3 mars 1875 à l'Opéra-Comique de Paris. L'apparence séduisante de Carmen est à la fois son arme et son destin, car à la fin elle meurt des mains de son amant jaloux : Don José.
Carmen ne veut pas être contrôlée par les autres et ne veut certainement pas être sauvée par Don José dans le sable tourbillonnant devant les arènes ; elle préférerait même la mort : elle veut décider elle-même de sa vie. Dans l'air d'entrée passionné de Carmen, Habanera, extrêmement populaire, elle dresse un portrait d'elle-même : « L'amour est un oiseau têtu que personne ne peut apprivoiser. » Leur désir inébranlable de liberté est leur ADN.
La partition de Georges Bizet, parsemée de mélodies entraînantes, d'instruments caractéristiques tels que des castagnettes et du tambourin, de rythmes entraînants et d'une série de danses espagnoles, déborde de verve, de puissance et de passion. La joie de vivre et la danse, mais aussi la douleur et finalement la mort sont proches. Le thème de la peur et de la fascination, représenté par le visage de Janus, donne le ton à cet opéra et, soit dit en passant, continue d'avoir un impact sur un certain nombre de proches de Carmen dans les personnages d'opéra ultérieurs.
Sous réserve de modifications.