Ariadne auf Naxos - Schedule, Program & Tickets
Ariadne auf Naxos
ARIADNE AUF NAXOS
OPÉRA EN UN ACTE ET UN PROLOGUE (1916)
MUSIQUE DE RICHARD STRAUSS (1864-1949)
LIVRET DE HUGO VON HOFMANNSTHAL
En langue allemande
Michael Schønwandt Direction musicale
Laurent Pelly Mise en scène et costumes
Chantal Thomas Décors
Joël Adam Lumières
Agathe Melinand Dramaturgie et collaboration à la mise en scène
Franz Grundheber : Der Haushofmeister
Martin Gantner : Ein Musiklehrer
Sophie Koch : Der Komponist
Klaus Florian Vogt : Der Tenor (Bacchus)
Kevin Amiel : Ein Offizier
Dietmar Kerschbaum : Ein Tanzmeister
Piotr Kumon : Ein Perückenmacher
Ugo Rabec : Ein Lakai
Daniela Fally : Zerbinetta
Karita Mattila : Primadonna (Ariadne)
Olga Seliverstova : Najade
Agata Schmidt : Dryade
Ruzan Mantashyan : Echo
Edwin Crossley-Mercer : Harlekin
Oleksiy Palchykov : Scaramuccio
Andriy Gnatiuk : Truffaldino
Cyrille Dubois : Brighella
Paris Opera Orchestra and Chorus
« La musique est un art sacré, qui réunit les audaces les plus folles, tel Chérubin sur un trône étincelant ! » Telle est la profession de foi que lance à tue-tête le Compositeur à la fin du prologue d’Ariane à Naxos. De l’audace, en effet, le chef-d’oeuvre de Strauss et Hofmannsthal n’en manque pas : il se présente en un vaste prologue, nous montrant les coulisses de la création, et un opéra en un acte où se mêlent avec une liberté grisante le sérieux et le bouffe… Plus que l’illustration du mélange des genres, Ariane à Naxos en est le radieux manifeste. Exposant leur art poétique, Hofmannsthal et Strauss nous donnent en même temps quelques personnages inoubliables : le Compositeur juvénile, idéaliste, amoureux, frère de Mozart et Wagner à la fois ; la lumineuse Zerbinetta, avec ses coloratures insensées nées d’un rire en cascade ; enfin la noble Ariane, personnage de tragédie lyrique chantant aux étoiles, mais que le prologue nous montre dans ses habits moins flatteurs mais si drôles de diva capricieuse. Le monde est un succulent désordre que l’art se charge de remettre en ordre, mais dont il ne peut et ne veut lisser les aspérités et les irréductibles contradictions.
Un des sommets de l’opéra du xxe siècle et le retour attendu de Karita Mattila à l’Opéra de Paris.
OPÉRA EN UN ACTE ET UN PROLOGUE (1916)
MUSIQUE DE RICHARD STRAUSS (1864-1949)
LIVRET DE HUGO VON HOFMANNSTHAL
En langue allemande
Michael Schønwandt Direction musicale
Laurent Pelly Mise en scène et costumes
Chantal Thomas Décors
Joël Adam Lumières
Agathe Melinand Dramaturgie et collaboration à la mise en scène
Franz Grundheber : Der Haushofmeister
Martin Gantner : Ein Musiklehrer
Sophie Koch : Der Komponist
Klaus Florian Vogt : Der Tenor (Bacchus)
Kevin Amiel : Ein Offizier
Dietmar Kerschbaum : Ein Tanzmeister
Piotr Kumon : Ein Perückenmacher
Ugo Rabec : Ein Lakai
Daniela Fally : Zerbinetta
Karita Mattila : Primadonna (Ariadne)
Olga Seliverstova : Najade
Agata Schmidt : Dryade
Ruzan Mantashyan : Echo
Edwin Crossley-Mercer : Harlekin
Oleksiy Palchykov : Scaramuccio
Andriy Gnatiuk : Truffaldino
Cyrille Dubois : Brighella
Paris Opera Orchestra and Chorus
« La musique est un art sacré, qui réunit les audaces les plus folles, tel Chérubin sur un trône étincelant ! » Telle est la profession de foi que lance à tue-tête le Compositeur à la fin du prologue d’Ariane à Naxos. De l’audace, en effet, le chef-d’oeuvre de Strauss et Hofmannsthal n’en manque pas : il se présente en un vaste prologue, nous montrant les coulisses de la création, et un opéra en un acte où se mêlent avec une liberté grisante le sérieux et le bouffe… Plus que l’illustration du mélange des genres, Ariane à Naxos en est le radieux manifeste. Exposant leur art poétique, Hofmannsthal et Strauss nous donnent en même temps quelques personnages inoubliables : le Compositeur juvénile, idéaliste, amoureux, frère de Mozart et Wagner à la fois ; la lumineuse Zerbinetta, avec ses coloratures insensées nées d’un rire en cascade ; enfin la noble Ariane, personnage de tragédie lyrique chantant aux étoiles, mais que le prologue nous montre dans ses habits moins flatteurs mais si drôles de diva capricieuse. Le monde est un succulent désordre que l’art se charge de remettre en ordre, mais dont il ne peut et ne veut lisser les aspérités et les irréductibles contradictions.
Un des sommets de l’opéra du xxe siècle et le retour attendu de Karita Mattila à l’Opéra de Paris.
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